Résumé : Résumé : Février 1939. Submergé par le flot de Républicains fuyant la dictature franquiste, le gouvernement français les parque dans des camps. Deux hommes séparés par les barbelés vont se lier d'amitié. L'un est gendarme, l'autre est dessinateur. De Barcelone à New York, l'histoire vraie de Josep Bartolî, combattant anti-franquiste et artiste d'exception. Bonus : Bartoli, le dessin pour mémoire
Notes : Prêt consultation
Format(s) Vidéo : 16/9, 2.39
Format(s) audio : Dolby Digital, DTS 5.1 HD Master Audio
Année de réalisation : 2020
16 ans et plus
César 2021 du meilleur long-métrage d'animation - Prix Louis-Delluc 2020 du premier film - Prix Fondation Gan à la Diffusion au Festival d'Annecy 2019 - Prix du meilleur film d'animation au 33ème European Film Awards - MYFRENCHFILMFESTIVAL 2021 : Prix de la presse internationale pour un long métrage et Prix du public pour un long métrage
Une oeuvre dessinée poignante par son sujet fort et sa forme audacieuse, où la poésie visuelle renforce la dureté du réel. - Bande à part - Benoit Basirico
Aurel signe un magnifique et poignant film d'animation évoquant le destin de Josep Bartolî, dessinateur catalan ayant fui le régime de Franco en 1939 et qui s'est retrouvé dans d'immondes camps de la honte, en France. - La Voix du Nord - Christophe Caron
Le film est splendide, non seulement parce qu'il prend le parti de la complexité jusque dans le trait, à la fois esquissé et ardent, mais aussi car il ressuscite une époque par le truchement d'une rencontre : celle d'un gamin d'aujourd'hui avec son grand-père. - Sud Ouest - Sophie Avon
De ce Josep recommandé à tous les publics, beaucoup d'images resteront gravées, mais on en retient une en particulier : deux amis à la vie à la mort repeignant, en compagnie de Frida Kahlo, la façade d'une hacienda avec des couleurs éclatantes. Insolentes comme l'espoir. - Télérama - Guillemette Odicino
Ce biopic inspiré d'événements authentiques est poignant, et la colère devant le traitement indigne que la République française a fait subir aux réfugiés n'est pas éteinte. Le crayon est une arme à tuer les fascistes, le film le démontre avec éclat. - L'Obs - François Forestier
En mélangeant dessin de presse et animation, Aurel rend un bel hommage au dessin comme outil de résistance. - Les Fiches du Cinéma - Margherita Gera
Le dessin d'Aurel est beau, gracieux. L'animation subtile, n'hésitant pas à pratiquer l'effacement, le surplace, à jouer sur l'immobilité des personnages. - Les Inrockuptibles - Jean-Baptiste Morain
Le résultat est un ravissement pour les yeux tout au long de ces 80 minutes incroyablement denses et pourtant d'une fluidité jamais prise en défaut. Un coup d'essai façon coup de maître. - Première - Thierry Chèze
Radicalisant cette démarche jusque dans une séquence finale, émotionnellement troublante, où un croquis devient la pièce manquante d'un puzzle et trouve sa juste place au musée, l'enthousiasmant premier long métrage d'Aurel, dessinateur de presse au Monde et au Canard enchaîné, choisit délibérément la voie de la mise en abîme et du dialogue intime. - Les Cahiers du Cinéma - Thierry Méranger
Aurel ne nous fait pas seulement découvrir un dessinateur au regard acéré et au trait sûr, il porte un éclairage (peut-être un peu univoque) sur une période méconnue de notre histoire. - Le Monde - Philippe Ridet