Résumé : Résumé : Pennsylvanie, 1993. Bienvenue à God's Promise, établissement isolé au coeur des Rocheuses. Cameron, vient d'y poser ses valises. La voilà, comme ses camarades, livrée à Mme Marsh qui s'est donnée pour mission de remettre ces âmes perdues dans le droit chemin. La faute de Cameron ? S'être laissée griser par ses sentiments naissants pour une autre fille, son amie Coley. Parmi les pensionnaires, il y a Mark l'introverti ou Jane la grande gueule. Tous partagent cette même fêlure, ce désir ardent de pouvoir aimer qui ils veulent. Si personne ne veut les accepter tels qu'ils sont, il leur faut agir...
Notre avis : Avec "Come as you are" Desirée Akhavan évoque un sujet peu traité au cinéma (les thérapies de conversion) afin de mieux parler d'acceptation de soi et de liberté. Un film sensible à l'écriture maîtrisée et porté par son excellente actrice principale : Chloë Grace Moretz. F.C
Notes : Prêt consultation
Format(s) Vidéo : 1:85
Format(s) audio : Dolby Digital 5.1, Dolby Digital 2.0
Année de réalisation : 2018
16 ans et plus
Grand Prix du Jury au Festival de Sundance 2018
La réalisatrice Desiree Akhavan chronique le malaise adolescent avec bienveillance et sans jamais détourner le regard de l'apprentissage identitaire ou sexuel - c'est le cahier des charges du cinéma indépendant américain, bardé de réalisme, jusque dans son image terne, et sulfureux juste ce qu'il faut. - Cinema Teaser - Emmanuelle Spadacenta
Un vivifiant plaidoyer pour la différence, nous embarquant sur un chemin de croix quand on préfère gambader hors des sentiers battus. - Cultureopoing.com - Xanaé Bove
Le festival de Sundance a salué cette immersion suffocante et réaliste dans un centre de conversion sexuelle pour homos. Finement écrites, jamais manichéennes, les mésaventures de la jeune Cameron donnent à voir une facette méconnue de l'Amérique. - Les Fiches du Cinéma - Isabelle Boudet
À travers son héroïne, magnifiquement interprétée par Chloë Grace Moretz, la cinéaste offre un hymne à la liberté et à l'identité, en maniant à merveille l'ironie contre les conventions. - Le Figaro